J'ai je l'avoue une habitude assez superficielle — et peut-être partagée par d'autres dans ma profession — quand je commence à m'adresser à quelqu'un qui fait mon métier, la première chose que je fais c'est cliquer sur le lien de leur site. Je jette un œil aux sources, et de là la critique vient vite. Ce n'est pas logique je l'avoue car même moi qui suit très au courant de tous les bons codes et pratiques en terme de webdesign, je n'ai pas toujours encore le temps ou les moyens de tout mettre en œuvre. Mais certaines choses ne passent pas, comme les sites qui lient treize feuilles CSS et douze Javascript; du code non sémantique bourré de tirs croisés entre présentation et contenu; des designs soit ni fluides, ni reponsive, soient pseudo-proclamés mobile-friendly mais qui balancent à l'utilisateur des pages de 24 mégas.
Le double-tranchant c'est que d'autres s'adonnent aussi à cela et que dans des discussions houleuses, mon portfolio personnel donnait une bien triste image de